dimanche 29 septembre 2013

les Hommes du Bois sacré.....d'Afrique


L'Iboga, les hommes du Bois Sacré... par tchels0o

un petit coucou à Jean marie Pelt que j'ai connu il y'a longtemps de cela, je le salut içi pour l'occasion

Comment agir contre l'humidité chez soi avec peu de moyens ?

Confectionner un déshumidificateur artisanal en quelques minutes

La meilleure solution pour lutter contre l'humidité dans votre logement est bien sûr le déshumidificateur : il en existe de toutes sortes et, s'il est bien choisi, peut se révéler particulièrement efficace. Pour autant, vous ne manquerez pas de constater à quel point le mécanisme peut se révéler bruyant du fait de son ventilateur et consommateur d'électricité. Aussi, comme nous vous le suggérions dans l'article consacré aux meilleures idées rapides pour lutter contre l'humidité, il est également possible de confectionner un absorbeur d'humidité artisanal en un temps record. Généralement, une bouteille coupée en deux et une substance absorbante (comme de la litière pour chat, de la pierre de sel d'Himalaya ou du gel de silice) suffit à sa réalisation.

Le déshumidificateur à base de gros sel et d'huile essentielle

Le déshumidificateur à base de charbon

Le déshumidificateur à base d'argile

Le déshumidificateur à base de gros sel et d'huile essentielle

Bien que ça ne soit pas très décoratif dans une pièce à vivre, il est possible de créer un absorbeur d'humidité à partir d'une bouteille en plastique vide d'un litre et demi. Il faut également de la gaze (une compresse ou un morceau de tissu le cas échéant), du coton, l'huile essentielle de votre choix, un élastique, du gros seul de cuisine et des ciseaux. Vous coupez la bouteille en deux, retirez et remplacez le bouchon par la gaze en la faisant tenir à l'aide de l'élastique. Vous versez quelques goûtes d'huile essentielle sur un gros morceau de coton que vous enfouissez dans le fond de la bouteille. Le haut de la bouteille accueille le gros sel capable d'absorber l'humidité. Il suffit enfin d'emboîter le tout comme pour réaliser un piège à guêpe (goulot orienté vers le bas). S'il est trempé, n'oubliez pas de changer le coton et d'y ajouter l'huile essentielle.

Le déshumidificateur à base de charbon

Cette solution devrait vous aider à combattre l'humidité et ses traces disgracieuses. L'astuce est écologique, économique et fondée sur le principe de la récupération. Côté matériel, il vous faut quelques pépites de charbon de bois (pour le barbecue), une boîte en plastique (comparable à ce qui est utilisé pour le conditionnement alimentaire), et enfin un couteau pointu (ou un cutter). Il suffit tout simplement de placer le charbon dans la boîte puis de percer le couvercle d'une dizaine de petits trous. Pour une efficacité optimale, il convient de changer régulièrement le charbon. Bien entendu, comme le résultat final n'est pas très esthétique, vous prendrez soin de placer votre absorbeur à l'abri des regards indiscrets.

Le déshumidificateur à base d'argile

Un absorbeur d'humidité peut également se révéler indispensable pour déshumidifier des pièces dans lesquels on souhaite stocker des objets de valeur. Cet absorbeur artisanal est une variante de celui à base de gros sel, et comme les autres, il est efficace, naturel et bon marché. Procurez vous un bidon en plastique de cinq litres (d'eau minérale par exemple), un vieux chiffon en coton et 250 à 300 grammes d'argile naturelle concassée. Vous coupez la partie supérieure du bidon à l'horizontal et on la place (goulot vers le bas) à l'intérieur du bidon (façon "piège à guêpes).

Enfin, vous découpez un morceau du chiffon aux dimensions du bidon, vous pilonnez l'argile afin de casser les plus gros morceaux et vous étalez celle-ci sur le tissu. L'argile absorbera l'humidité qui ruissellera par le goulot jusqu'au bidon.

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vendredi 27 septembre 2013

Recolter du Miel sur les terrasses en Ville !

Effervescence autour de la terrasse végétalisée de l’ISA Lille. Vingt-cinq élèves de la filière Agricole et Alimentaire spécialité sucre, sont réunis pour participer à la première extraction de miel provenant des ruches situées sur le toit de leur école.

Gants de protection et cagoule avec voile enfilés, c’est le moment de s’approcher des ruches. En été, chaque ruche abrite entre 60.000 et 80.000 abeilles, entre 10 et 20.000 en hiver. Plus on s’approche des ruches, plus le bourdonnement s’intensifie… C’est l’heure de la relève des cadres.

EXPERIENCE VIA

Au lieu de Jeter, Cuisinez vos Restes de nourritures

Nos grand-mères excellaient dans l’art d’accommoder les restes. Et si on revenait aux pratiques d’antan pour réduire le gaspillage alimentaire ?

Pour cuisiner les restes, il faut avant tout savoir bien les conserver.

Refroidir rapidement. Laisser les plats au maximum 30 minutes à température ambiante, sinon ils risquent de développer des bactéries et ne seraient donc plus consommables.

Bien protéger pour éviter le dessèchement, éviter le contact avec d’autres produits et éviter qu’ils ne s’abîment trop.

Bien réchauffer en privilégiant le réchauffage à haute température et éviter de les réchauffer plus d’une fois.

Papillote, sorbet, pizza, soupe, compotes, brochettes, crumble, gratins … les fruits abîmés, le rôti de bœuf qui dort dans le frigo, les radis déconfis... tous retrouvent une nouvelles vies, du plus basique au plus original, voici quelques recettes pour manger durable !

Les basiques

Croûtons à l’ail :

Mixer ail et huile d’olive. Faire chauffer le mélange dans une poêle, y faire griller des tranches de pain rassis. Servir chaud avec une soupe.

Cake « aux restes du frigo » :

La base du cake est toujours la même : de la farine, de la levure, des œufs et de l’huile d’olive. Après avoir obtenu un pâte lisse, on verse les ingrédients : crabe, olive, jambon, chèvre, raisin, poivre, roquefort … on peut tout y mettre

Brioche perdue :

Battre un œuf, une cuillère à soupe de crème, 3 de lait. Couper de la brioche et tremper des grosses tranches dans le mélange, les faire revenir à la poêle avec du beurre et du sucre. Servez aussitôt. Crumble de ratatouille : Le crumble n’est pas seulement réservé au sucré. On remplace le sucre par la chapelure, on y ajoute quelques graines de pavots et le tour est joué. Mélanger 45 g de beurre, 45 g de farine, 20 g de chapelure, 20 g de parmesan et des graines de pavots. Saler, poivrer. Déposer au fond d’un plat le reste de ratatouille, avec du laurier et du thym. Recouvrir de pâte à crumble. Enfourner 20 minutes. Les originaux

Chips aux épluchures de patates :

Bien laver la peau des pommes de terres, puis plongez-les dans l’huile bouillante à 190°C pendant 20 minutes. Déposez-les dans un plat garni de papier absorbant et salez aussitôt. (on peut faire la même chose avec des épluchures de pommes !)

Soupe aux épluchures d’asperges :

Faire revenir une échalote et des pommes de terres dans du beurre, ajouter les épluchures d’asperges, puis le bouillon. Mixer avec un peu de crème. Dégustez avec une tartine de pain grillé. Soupe aux fanes de radis : Faire fondre un oignon dans du beurre et de l’huile d’olive, ajouter les fanes de radis et laissez suer, ajoutez du bouillon, du sel, du poivre. Laissez cuire quelques minutes et mixez le tout en ajoutant du cerfeuil et une cuillère de crème fraîche.

Hachis Parmentier au chorizo et aux olives :

On recycle purée et chorizo !

Hacher le chorizo, les olives, le thym, le romarin. Beurrer un plat, répartir le hachis au fond, recouvrir de purée et éventuellement de chapelure. Cuire à 180° pendant 20 minutes.

Poulet au coca :

Pour changer du traditionnel « il faut finir le poulet du dimanche » voici une recette pour enchanter petits et grands. Faire cuire 40 minutes 1 canette de coca-cola, 10cl de sauce soja, 2,5 cl de crème de cassis, un jus de citron, 1 cube de fond de veau. Faire revenir les morceaux de poulets à la poêle. Napper-les de sauce sirupeuse. Servir chaud.

Et pour tout savoir sur l’art d’accommoder les restes, on lit :

Sos restes de Blandine Boyer aux Editions Marabout

Sos restes, de Blandine BOYER, aux Éditions Marabout

Délicieux petits restes : 90 recettes futées pour une cuisine débrouille, de Emmauelle JARY et Jean-François MALLET aux Éditions Solar

Petits riens, grands festins : le nouvel art d’accommoder les restes, de Antoine HERBEZ, aux Éditions Albin Michel

La cuisine du lendemain, l’art d’accommoder les restes, de Delphine SCHWARTZBROD aux Éditions Flammarion

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Pendant Ramadhan en algérie, c'est le mois de la folie du gaspillage

jeudi 26 septembre 2013

Purifier l'eau avec la coriandre ( texte en anglais )

Water purification with Cilantro (Coriandre)

Because cilantro isn't an essential crop, using it as a purifier won't take away from people's food needs in Mexico.

STORY HIGHLIGHTS

Research team studying cheaper ways to filter water near Mexico City Heavy metals such as lead and nickel can cause neurological health problems Scientists found cilantro is the most prevalent and powerful bioabsorbant material

(TIME.com) -- The next time you find yourself facing some questionable drinking water, look for some cilantro.

At least that's what a team of U.S. and Mexican researchers made up of undergraduate students suggest.

The research team, lead by Douglas Schauer of Ivy Tech Community College in Lafayette, Indiana, along with colleagues from the Universidad Politécnica de Francisco I. Madero in Hidalgo, Mexico, have been studying the region of Tule Valley near Mexico City to identify cheaper ways to filter water.

Mexico City has long dumped its waste water in the valley, and the contaminated water is then used by regional farmers to irrigate crops. Once in the edible foods, heavy metals such as lead and nickel can make their way to consumers, where they can contribute to neurological and other health problems.

"The organic toxins we can take care of pretty easily with a number of different methods, but the only way to really get rid of those heavy metals is to treat them with filtering agents like activated charcoal (like what's found in a Brita filter), but those types of materials are kind of expensive," says Schauer. "They are a little expensive for us to use, but they are very expensive to the people living in that region."

After testing various samples of plants from cacti to flowers, the researchers determined that cilantro is the most prevalent and powerful so-called bioabsorbant material in the area. Bioabsorption is the scientific term for using organic materials often found in plants, that when dried, could replace the charcoal currently used in filters.

The team suspects that the outer wall structure of the tiny cells that make up the plant are ideal for capturing metals. Other plants, like dandelions and parsley may also provide similar bioabsorbant capabilities.

Schauer says ground-up cilantro can be inserted into a tube into which water is passed through. The cilantro allows the water to trickle out but absorbs metals, leaving cleaner drinking water. Dried cilantro can also be placed into tea bags that are placed in a pitcher of water for a few minutes to suck out the heavy metals.

"It's something they already have down there, it takes minimal processing, and it's just a matter of them taking the plants and drying them out on a rock in the sun for a couple of days," says Schauer.

Because cilantro isn't an essential crop, using it as a purifier won't take away from people's food needs in the region, and the relative ease with which the plant grows also makes it a realistic option for cleansing water.

So far, the researchers reported success in removing lead and nickel with their cilantro filters, and are studying how well the herb can removed other heavy metals found in the Tule Valley water such as arsenic and mercury. "We are hoping we can look at how cilantro absorbs those metals, and see if those metals work in some kind of synergy when they come into contact with the biomass," says Schauer. "We need to look at mixtures of metals to see if cilantro evenly pulls all the metals out."

How much cilantro would it take to effective make contaminated water drinkable? Schauer says a handful of cilantro will nearly cleanse a pitcher full of highly contaminated water of its lead content.

The researchers are presented their findings at the national meeting of the American Chemical Society.

This article was originally published on TIME.com VIA KIDAL INFO

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Faire fortune en cultivant son Jardin pendant sa retraite !

Un couple de retraités qui rêvait depuis des années de partir cultiver des plantes en Australie a été victime de son succès. Loin de vivre une retraite paisible, ils sont aujourd'hui à la tête d'un business rentable et pérenne.

C'est ce qui s'appelle un retournement de situation. Deux couples d'amis s'étaient mis en tête, une fois à la retraite, de s'exiler en Australie afin d'y faire pousser des plantes dans une petite ferme. Et accessoirement, d'y passer une retraite tranquille. Malgré un imprévu - le décès d'un des retraités -, le couple restant n'abandonne pas ce projet: ils remplacent simplement leur destination initiale, l'Australie laisse place à Singapour. Ivy Singh et son mari Lim So Heng réalisent donc leur rêve, et s'installent sur un terrain d'environ 4 hectares, qu'ils transforment en ferme et baptisent «Bollywood Veggies». Le couple se met alors à cultiver des produits divers: aubergines, herbes, fruits… «Nous avons fait cela dans l'optique d'être tranquilles tout en nous occupant, c'était un vrai projet de retraite», explique Ivy Singh à la BBC.

Mais ce rêve évolue rapidement… Dès lors que le couple s'est installé, une foule de curieux viennent visiter la ferme, posent des questions, s'intéressent aux plantations et à leurs projets. Si bien que les deux retraités ouvrent un restaurant sur le site de leur ferme, puis une école de cuisine, puis un musée de l'alimentation. Un simple projet de retraite se transforme alors naturellement en vrai projet d'entrepreneur, même si le couple tient à souligner qu'il n'envisage toujours pas les choses de cette manière. Revenus annuels de près de 600.000 euros

«Nous avons simplement examiné toutes les demandes et tous les intérêts des personnes qui venaient nous visiter», explique Mme Singh. Enhardi par son succès, le couple décide ensuite de s'attaquer à un marché sous-représenté en Chine: la banane. «Les Chinois n'aiment pas faire pousser des bananes car ils sont convaincus que la fleur de bananier abrite un démon!» Ce simple constat donne envie au couple de devenir les plus gros producteurs de bananes dans le pays. Aujourd'hui, la ferme multiplie les recettes à base de bananes (chips de banane, pain à la banane), et est à l'écoute de toutes les recettes que les visiteurs - et clients - peuvent suggérer.

Prochaine envie du couple: ouvrir une maison de retraite en plein cœur de la ferme! «Je pense qu'il serait vraiment bénéfique pour les personnes âgées de venir à la ferme au grand air, plutôt que de rester enfermées dans un hôpital où l'ambiance est beaucoup plus morose», estime Ivy Singh. Depuis son lancement en 2000, le couple de retraités déclare maintenant des revenus annuels de 1 million de dollars de Singapour, soit 790.000 dollars ou 585.000 euros.

VIA LE FIGARO

vendredi 6 septembre 2013

Elever des Poissons dans vos caves pour Eliminer les moustiques

Eliminer les moustiques.

Voici une petite astuce écologique pour éliminer les moustiques et leurs larves qui ont tendance à se développer dans les cuves de récupération d'eau de pluie, les bassins et les fontaines. Installez quelques poissons rouges dans le bassin concerné et ne les nourrissez surtout pas, ainsi ils feront un festin avec les moustiques et les larves.

Les six mensonges concernant les bouteilles d'eau en plastique ( anglais )

6 Lies You Always Believed About Bottled Water

As Americans have become more health-conscious, the water bottle has become a kind of status symbol. Carrying a bottle of water—typically embellished with an idyllic scene of nature—sends a message: I care about my health and I care about the environment. When it comes to beverages, I’m practicing a mindful austerity, deliberately sacrificing flavor and calories for the greater good.

It’s high time water drinkers faced the music. Bottled water isn’t particularly good for the health, it isn’t good for the environment, and it has almost nothing to do with the greater good.

Americans drank 9.67 billion gallons of bottled water in 2012, says research and consulting firm Beverage Marketing Corp. That’s nearly 31 gallons for every man, woman, and child—and an increase of 11 gallons per person since 2001.

Americans spent more than $23 billion on bottled water. Worldwide, sales of bottled water are skyrocketing. Analysts say that only energy drinks and ready-to-drink coffee drinks are enjoying faster market growth than water.

A preference for bottled water makes sense in countries that have legitimate reasons to be worried about continued supplies of healthy tap water. The United Nations says 783 million people worldwide do not have access to clean water. But that’s not where the marketers are focusing. They’ve made their products a luxury item.

Celebrities demand particular brands of bottled water by name, feeding the perception that drinking the right bottled water can promote better health while bringing you one step closer to your idol.

It’s time for water drinkers to face the facts. If you’ve been subjected to the bottled water industry’s marketing campaigns, you have been exposed to some very questionable ideas. Here are some myths about bottled water and the truth behind each one.

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